iad France - Cedric Carvalho de fonsesco Roissy-en-Brie

Madame Laurence G, Je prends connaissance avec attention de votre avis et de votre déception. Il me semble toutefois essentiel de rétablir certains faits afin d’apporter une réponse impartiale et transparente, en accord avec mon engagement professionnel. En tant que conseiller immobilier, je suis intervenu avec mes clients acquéreurs aux côtés de ma collègue, qui représentait vos intérêts en tant que vendeurs, pour mener à bien la vente de votre bien. Tout au long de ce processus, ma collègue et moi avons travaillé en parfaite collaboration, dans un esprit de transparence et de communication constante, tant avec les acquéreurs qu'avec vous-même, toujours dans le respect de nos obligations légales et déontologiques. Concernant la cuve à fioul, il est important de rappeler que la découverte de celle-ci est intervenue après la signature de l’offre d’achat, moment où vous en avez informé ma collègue. Information qui n’a pas été transmise en amont. En tant que professionnels, nous avons pris le soin de vous rappeler vos obligations légales en matière d'entretien, afin que cette situation ne crée aucun litige futur avec les acquéreurs. Si cette information a généré des tensions, elles n'ont en aucun cas été le fruit d’un manque de professionnalisme de ma part. En ce qui concerne le prix de vente de votre maison, nous avons veillé à la vendre au prix du marché, après une analyse minutieuse et réaliste. Comme vous nous l’avez mentionné : il est vrai que certaines agences ont pu vous laisser entendre que vous pourriez obtenir un prix plus élevé, mais il est de notre devoir de vous conseiller au mieux, en tenant compte des réalités du marché, afin d’aboutir à une transaction juste et équilibrée. De plus, tout au long de la transaction, j’ai été sollicité par l’office notariale que vous aviez choisie, celle-ci n’étant pas familière avec les réglementations locales. N'étant pas votre interlocuteur principal j’ai quand même pris soin de lui apporter quelques précisions nécessaires pour faciliter l’avancement de votre dossier, et vous ai même conseillé de collaborer avec un notaire du secteur pour plus de réactivité et de sérénité. Cette suggestion, bien qu’elle aurait pu vous éviter certaines complications, n’a pas été suivie. Je regrette sincèrement que vous ayez refusé à plusieurs reprises les propositions de dialogue et de rencontre que nous avons formulées avec ma collègue. J’ai toujours été disponible et à votre écoute. En rejetant ces échanges, vous avez choisi d'écarter une possibilité de clarifier certaines incompréhensions qui, je pense, auraient permis de dissiper les tensions. L’avis que vous partagez aujourd'hui n'est pas justifié. Il ne reflète pas la réalité de mon travail, ni de notre travail en équipe, ni de mon engagement à accompagner toutes les parties de manière équitable et professionnelle. Il est dommageable que vous ayez refusé nos propositions de dialogue, préférant une critique publique. Cet avis vient entacher une image construite au fil des années sur le sérieux et la transparence. Le terme de "malhonnêteté intellectuelle" pourrait d'ailleurs s'appliquer au fait de me reprocher des éléments qui étaient hors de mon contrôle et qui relevaient avant tout de vos responsabilités en tant que vendeurs. Je tiens néanmoins à vous souhaiter pleine réussite pour la suite, tout en restant disponible si vous souhaitez discuter davantage. Au plaisir, prenez soin de vous. Cédric Carvalho, Un Roisséen à votre service, Conseiller immobilier sur Roissy-en-Brie et ses alentours