iad France - Etienne Naruse Saint-Germain-en-Laye

iad France - Etienne Naruse

29.01.2025

Madame,
La satisfaction tout à fait compréhensible que vous éprouvez d’avoir signé une offre supérieure à celle reçue par mon intermédiaire ne peut en aucune manière justifier le jugement péremptoire que vous émettez sur la qualité de mon travail. Aussi dois-je rappeler quelques éléments de contexte.
J’ai repris la commercialisation de votre bien alors que celui-ci était en vente depuis quasiment un an dans une autre agence sans la moindre offre et avec que très peu de visites. Le prix de mise en vente étant alors totalement déconnecté d’un marché qui n’a eu de cesse depuis lors de se dégrader. J’ai alors repris de fond en combles la commercialisation de votre bien (photos de qualité, accompagnement d’acquéreurs avec un architecte d’intérieur pour envisager les faisabilité de la création d’une 2ème chambre, travail en bonne intelligence avec des collègues du secteurs pour élargir la base d’acquéreurs), alors même que je n’étais qu’en mandat simple. Seule restait la difficulté à aboutir à une décision collégiale sur un prix de vente correspondant au marché et ce pour 3 raisons:
-le caractère atypique du bien
- la grande incertitude du marché
- et surtout le fait que vous étiez 7 dans la succession à devoir vous entendre sur un prix.
Face à cette impasse, un expert immobilier
de la cour d’Appel de Paris est alors intervenu et a rendu son expertise, nettement inférieure au prix de vente. Quelque temps après, je recevais une offre avec paiement comptant justement située dans la fourchette de l’expertise; il s’agissait de votre première offre sérieuse après 1 an et demi de commercialisation alors que étions toujours deux agences à travailler avec vous.
L’offre n’a pas tenu, vous avez vendu depuis plus cher et je m’en réjouis pour vous. Puissiez-vous, à défaut d’autres membres de l’indivision qui m’ont fait part de leur reconnaissance et de leur satisfaction à mon endroit, au moins vous réjouir de cette issue favorable sans avoir à dénigrer mon implication, mon professionnalisme et toutes les heures consacrées à m’engager auprès de vous gratuitement. Bien cordialement