Laforet Brunoy - Avcb Immo Brunoy

Tout d'abord, la gestionnaire s'occupant du bien en location était plus disposer à encaisser les chèques qu'à faire son travail. La première surprise que nous avons eu est qu'une foi sur les lieux pour visite, presque tous les meubles affichés pour la location meublée n'étaient plus là, sans même qu'on nous ait prévenu qu'ils ne resteraient pas (on aurait en effet pu déterminer si le bien nous intéressait toujours autant et poursuivre nos recherches ailleurs). En plus, lors de cette première visite, nous avons constaté que l'appartement avait été laissé dans un état de saleté avancé (du fait de récents travaux de peinture et du manque d'entretien de certaines parties et équipements) choses de laquelle la gestionnaire s'était insurgée tout autant que nous. Elle nous avait cependant assuré qu'elle demanderait à la propriétaire de faire le nécessaire. Par ailleurs, le minimum légal en terme de meubles pour une location meublée (selon les deux premiers articles du décret n° 2015-981 du 31 juillet 2015) n'était pas non plus respecté ; chose dont devrait pourtant s'assurer tout gestionnaire avant de faire des visites. Étant vraiment intéressés par le bien (sous réserve de sa remise en état assurée par la gestionnaire) et ayant des contraintes de délais pour libérer notre précédent appartement, nous avons signé le bail sous réserve qu'un ménage correct soit effectué et que le minimum de meuble requis soit mis à disposition. Notre surprise fut donc grande quand nous avons constaté, lors de l'état des lieux, qu'il n'en était de rien et que nous ne pouvions donc pas emménager dans l'immédiat. La gestionnaire s'est pourtant empressée d'aller encaisser le chèque de dépôt de garantie en prétextant avoir un autre rendez-vous et nous laissant en plan avant qu'on ait totalement fini l'état des lieux. Une fois le chèque encaissé, le discours de cette dernière a complètement changé ! Elle disait désormais qu'il revenait au locataire de faire le ménage demandé et de fournir certains des équipements manquants. Nous avons été obligés de négocier un prolongement de bail d'une semaine supplémentaire avec notre ancien propriétaire vu qu'il a fallu toute une semaine à cette gestionnaire pour commencer à prendre en compte nos demandes. Pas besoin de préciser qu'aucun des frais occasionnés par cette situation n'est prévu de nous être remboursé malgré nos demandes. Encore plus drôle, plusieurs de nos emails sont restés sans réponses jusqu'ici et des demandes basiques telles que la quittance de loyer et le contact du Syndic de Copropriété pour l'affichage de nos noms sur la boite aux lettres ne sont, jusque-là, pas traitées.